14-15 mai : du Damaraland au Kaokoland.

À 7h, départ pour un petit safari dans la concession de Palmwag. Le lever et le coucher du soleil sont propices à l’observation des animaux.

Bien sûr, nous espérions voir des éléphants…mais, à cet endroit, ils n’arrivent qu’en juin ! Hier , nous avons vu des crottes sur la route, c’est donc là que nous aurions pu en voir ! Nous croiserons quand même springboks, oryx et zèbres de Hartmann, et de nombreux oiseaux.

Le guide nous emmène sur des chemins caillouteux pour traquer les animaux, reconnaître leurs traces, mais aussi pour nous montrer les roches et plantes endémiques, comme par exemple l’euphorbe damarana, dont la sève est un venin très toxique. Seuls les rhinos et les oryx peuvent les manger. Elle servait de poison sur les flèches des guerriers San.

Ce fut quand même une matinée bien agréable, avec des paysages magnifiques.

Que signifie ce signe ?

Nous avons repris la route pour 80 km, en direction de Khowarib, au bord de l’Hoanib River. C’est dans le lit de cette rivière, en partant pour 2 jours, que l’on est sûr de rencontrer beaucoup d’animaux, paraît-il…

Il fait très chaud, et les nuits ne sont plus trop fraîches.

Départ au lever du jour (7h) pour une étape de 350 km, avec arrêt à Opuwo, au garage. Mais, finalement, pas de solution au problème de témoin rouge !

À Opuwo, il faut également faire le ravitaillement car le frigo se vide. Le supermarché est également le lieu où les femmes himbas et hereros font leurs courses en costumes traditionnels. Mais beaucoup aussi sont là malheureusement pour quémander.

Peu d’arrêts sur la route qui traverse une région de hauts plateaux où se succèdent les termitières et les troupeaux de chèvres et de vaches.

En approchant d’Epupa, le paysage change encore, avec des collines où les petits arbres sont dominés par d’énormes baobabs.

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