11-12-13 mai : la côte et le Damaraland.

Après une nuit à Swakopmund, nous récupérons le pneu et remontons le long de la côte jusqu’à Cape Cross, célèbre pour 2 raisons : d’abord pour sa colonie de plus de 100 000 otaries à fourrure. Les masques sont bien utiles, car l’odeur est difficilement supportable !

C’est vraiment impressionnant de les voir de si près, des familles entières se baignant, criant, allaitant, se bagarrant…

Cape Cross est aussi le lieu où, en 1485, le navigateur portugais Diego Cão, fut le premier européen à poser le pied en Namibie. Nous redescendons ensuite la côte en longeant les exploitations de sel.

Notre étape ce soir sera à Spitzkoppe, au pied de ce sommet à 1728 m, appelé le Cervin du Damaraland, dans un endroit exceptionnel, au milieu de rochers qui changent de couleur avec le soleil.

Nous commençons à nous habituer à la présence des geckos, toktokkies, conedcrickets et autres tenebrionides inoffensifs !

Tôt le matin, après avoir profité du lever de soleil en déjeunant, nous suivons une guide vers le « small Bushmen’s paradise », ensemble de peintures rupestres effectuées par les Bushmen, il y a plusieurs milliers d’années.

Et, en chemin, nous croisons un petit troupeau de zèbres de Hartmann, race qui vit dans les montagnes.

Et nous continuons notre route vers le Brandberg, point culminant de la Namibie, face auquel nous dormirons ce soir, dans un camping fréquenté, paraît-il par des éléphants et parfois des lions…

Peu avant d’y arriver, nous voyons un troupeau d’autruches.

Des crêpes en Namibie !

Après une bonne nuit tranquille, nous reprenons la route. Et nous retrouvons les autruches.

Il faut faire des choix, car les temps de trajet sont très longs, vu l’état des pistes. Aussi, nous décidons de zapper les sites de White Lady et Twifelfontein (peintures rupestres) et privilégier les animaux.

Sur la route de Palmwag, nous débusquons nos premiers springboks et nos premières girafes !

Springbok

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